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Qui, où, quand, pourquoi ?

par | Oct 31, 2012 | 13 commentaires

Ce que René Fiévet nous propose aujourd’hui est une sorte de respiration. Cette période de congés y est propice. Et elle ponctue bien à propos, la phase de démarrage de Classic Courses. Passage délicat où le choix de la trajectoire nécessite le partage d’une vision avec ceux qui nous font l’honneur de nous lire.

Classic COURSES

quizz

Les lecteurs de Classic Courses sont-ils capables de résoudre cette petite énigme ? Quel est le pilote qui s’engouffre dans cette voiture, sur quel circuit sommes-nous, et  quelles sont les dates et circonstances ?

A vrai dire, nous ne doutons pas que la bonne réponse va venir immédiatement, tellement c’est facile. Mais c’est pour nous l’occasion de mieux connaître nos lecteurs. Non pas pour tester leurs connaissances, mais pour mieux mesurer le niveau d’exigence que l’on doit attendre d’eux.

Dans trois jours,  nous vous proposerons un texte sur le sujet, qui donnera la clé de l’énigme (ou plutôt qui ne fera que confirmer la sagacité des lecteurs de Classic Courses).

Classic Courses

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About René Fievet
Né en 1952, économiste de formation, René Fiévet vit à Washington DC où il est fonctionnaire international. Dès son plus jeune âge, il a été passionné par les courses automobiles, notamment en lisant les histoires de Michel Vaillant. Il a appris à lire avec « Le pilote sans visage ». Mais vivant à l’étranger dans sa jeunesse, en Extrême Orient et en Afrique, il a plus rêvé le sport automobile qu’il ne l’a vraiment connu. Ce qui arrange bien les choses quand il s’agit d’écrire sur le sujet. Comme tous les passionnés qu’on rencontre dans Classic Courses, René Fiévet pense évidemment que « c’était mieux avant ». Mais à force de répéter ce qui est pour nous une évidence, on risque de passer pour un vieux con. Alors, pour faire taire les sceptiques, les convaincre que le « c’était mieux avant » n’est pas une impression, ni même une opinion, mais une vérité solidement établie, et vérifiable, il faut transmettre quelque chose de ce passé révolu. Et comment transmettre autrement qu’en écrivant ?
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